ONU
L’opérationalisation de la force anti-djihadiste : c’est l’objectif d’une réunion tenue en marge de la 72è assemblée générale de l’ONU, à New York.
Les présidents des pays du G5 Sahel et Emmanuel Macron ont rouvert ce dossier qui visiblement n’emeut pas encore les partenaires européens et américains . Pour autant, Jean Yves le Drian, le ministre français des Affaires étrangères, lui se veut optimiste.
“Ça fait des mois des années qu’on parle des forces africaines de paix et là, c’est concret, c’est tellement concret que l‘état-major de cette force conjointe a été installé. Qu’ils ont un commandant-en-chef. Qu’ils ont déterminé les différentes forces. Trois ensemble de 1500 hommes”
Il faut à cette force pas moins de 520.millions de dollars pour qu’elle soit opérationnelle. Jean Yves le Drian espère officialiser cette force conjointe de lutte contre le terrorisme dès la fin du mois de septembre.
“L’alliance pour le Sahel ne sera mise en œuvre et affichée que lorsque nous nous nous réunirons à la fin de ce mois je présiderai une réunion à cet égard, mais c’est lié. La particularité de l’alliance pour le Sahel c’est de faire en sorte qu’il y ait un outil de développement qui soit un outil de développement d’une réactivité rapide ce qui est rarement le cas”
À côté de la force du G5 sahel, la crise sécuritaire en centrafrique a occupé les débats. Pour Jean Yves le Drian,le retour d’une opération française dans ce pays n’est pas à l’ordre du jour.
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